Catégorie : Blog

  • Visite Exposition Out of Office

    Visite Exposition Out of Office

    Visite ce samedi de l’exposition en plein air dans le domaine Noordduinen à Koskijde de l’exposition « Out of Office ». Une très belle initiative. J’aime beaucoup les expositions dans des cadres naturels. La preuve qu’avec des moyens relativement limités il y a moyen de faire des choses très intéressantes et accessibles au plus grand nombre.

    Out of Office is de jaarlijkse fotowedstrijd die BREEDBEELD organiseert tijdens de zomer. De wedstrijd vertrekt vanuit een open call. Vanuit de inzendingen wordt er een selectie gemaakt die aan het brede publiek getoond worden in een openluchttentoonstelling. Voor de editie van 2021 gaan we naar de Noordduinen in Koksijde.

    Deze zomer strijkt de BREEDBEELD openluchttentoonstelling ‘Out of Office’ neer in de Noordduinen in Koksijde. In dit prachtig stukje natuur aan de Belgische kust kan je een fotoparcours afleggen van 2,5 kilometer langs meer dan 70 beelden, gemaakt door maar liefst 50 fotografen. Dit project is een samenwerking tussen BREEDBEELD, de Gemeente Koksijde en Natuur en Bos van de Vlaamse overheid, met de steun van Imprenta.

    Ouvrir l’album complet sur Flickr …

  • Exposition Salgado « Amazonia »

    Exposition Salgado « Amazonia »

    Visite de l’exposition « Amazonia » du photographe brésilien Salgado à la Philharmonie de Paris.

    Une superbe scénographie, aidée d’un éclairage de qualité, met en valeur l’immense travail de S.Salgado sur l’Amazonie.


    For six years Sebastião Salgado traveled the Brazilian Amazon and photographed the unparalleled beauty of this extraordinary region: the rainforest, the rivers, the mountains, the people who live there—this irreplaceable treasure of humanity in which the immense power of nature is felt like nowhere else on earth.

    Sebastião Salgado. Amazônia – TASCHEN Books

    Source : Galerie Polka

    La galerie Polka est heureuse d’annoncer l’exposition de la nouvelle série de Sebastião Salgado, Amazônia, présentée du 11 juin au 11 septembre 2021.

    Organisée, en marge de la grande installation de la Philarmonie de Paris qui accueille plus de 200 photographies , l’exposition de la galerie Polka rassemble des tirages inédits ainsi qu’une sélection réalisée en étroite collaboration avec le photographe et son épouse Lélia Wanick Salgado.

    Le reportage de Sebastião Salgado en Amazonie débute en 1986. Ce premier contact avec le peuple Yanomami, l’un des plus grands groupes ethniques du Brésil, à la frontière avec le Venezuela, aura un rôle capital dans son travail. Par delà la frontière de la langue et les coutumes, un langage commun s’est progressivement établi, celui des émotions : « J’étais comme chez moi, dans ma propre tribu, celle des êtres humains, celle où tous les systèmes logiques et rationnels se mêlent les uns aux autres, aux miens, à ceux de l’Homo Sapiens ». 

    Dès lors, le photographe franco-brésilien retournera sans cesse en Amazonie, à la rencontre de peuples et de traditions menacés de disparition. Dans un territoire qui fait plus de 8 fois la France, 370 000 Indiens subsistent encore (quand cette population était estimée à 5 millions au XVI eme siècle, lors de la conquête du Brésil) répartis en 188 groupes, parlant 150 langues différentes. Et on estime que 114 groupes n’ont jamais été contactés à ce jour.

    Grâce au soutien précieux de la FUNAI (Fondation nationale de l’Indien), Sebastião Salgado a organisé, durant ces dix dernières années, des expéditions à faire pâlir d’envie Levi-Strauss : traducteurs, cuisiniers, guide de haute montagne mais aussi scientifiques (ethnologues, linguistes, anthropologues) l’ont accompagné à la rencontre des peuples isolés au cœur du poumon de la planète. Les Macuxi, les Zoé, les Korubo, les Waura, les Yawanawa… En tout plus d’une douzaine de communautés dont il a partagé la vie quotidienne.

    Pour l’exposition à la galerie Polka, Sebastião Salgado a souhaité partager un peu de ce quotidien avec les visiteurs : le studio photo installé lors de plusieurs voyages en 2018 est une invitation à vivre au cœur des images.

    Si l’Amazonie fascine Sebastião Salgado, ce n’est pas pour son côté sombre –incendies volontaires, déforestation, empoisonnement des sols et rivières par les orpailleurs et autres trafics en tout genre- mais pour sa beauté inégalée, majestueuse qu’il est encore temps de sauver si le monde se mobilise. Salgado nous offre des vues aériennes, spectaculaires et inédites, de la canopée amazonienne, des montagnes qui la dominent et de ces rivières aériennes qui charrient des millions de mètres cubes d’eau, davantage encore que le fleuve Amazone.

    Ses images donnent le vertige. Et nous éclairent. Elles nous font prendre conscience de la force et de la fragilité de ce que le photographe appelle la Dernière Frontière  : « Un univers mystérieux dans lequel la puissance de la nature est ressentie comme nulle part ailleurs sur Terre. Ici s’étale à l’infini la forêt qui abrite un dixième de toutes les espèces animales et végétales. Le plus grand laboratoire naturel au monde. »


    Source : Philharmonie de Paris

    For seven years, Sebastião Salgado immersed himself in far corners of the Brazilian Amazon, photographing the forest, rivers and mountains, and the people who live there. On his journeys deep into this realm—where the immense power of nature can be felt as in few places on earth—his photographer’s eye captured striking images, most being shown here to the public for the first time.

    Accompanied by an original soundtrack—a ‘symphony-world’ created by Jean-Michel Jarre using concrete sounds from the forest—the exhibition also gives voice to the indigenous communities photographed, via their testimonies.

    A photographic journey

    Following from his Genesis project, a photographic ode to the majestic beauty of the most remote regions of the world, Salgado embarked on a new series of expeditions to capture the incredible natural diversity of the Brazilian rainforest, and the ways of life of its inhabitants. Staying in remote villages for several weeks at a time, he was able to photograph ten ethic groups. Taken from small watercraft or from the air, Salgado’s images reveal the complex maze of tributaries that twist their way into the river, mountains reaching heights of 3 000 metres, and the skies so thick with moisture that there are rivers in the air.

    A symphony-world

    The exhibition highlights not only the fragility of this ecosystem, but also the rich natural soundtrack of the Amazon, placing in dialogue Salgado’s arresting photos and a new musical composition by Jean-Michel Jarre, created specially for the exhibition using concrete sounds from the forest. The rustling of trees, animal calls, birdsong, the roar of water tumbling from mountain peaks, etc. collected in situ, in the rainforest, form a stunningly apt audio landscape to accompany Salgado’s journey.

    An inestimable heritage

    Featuring 200 photographs, along with giant projections—scaled to the immensity of a natural realm like no other—the exhibition shines a spotlight on the fragility of the Amazonian ecosystem. It seeks to show that in the areas inhabited by indigenous groups, the ancestral guardians of these lands, the forest remains almost entirely undamaged. Documentary films allow visitors to hear from the people who live in the forest, in their own voices, and to gain a sense of their rich cultures. Through these powerful images, Sebastião and Lélia Salgado hope to prompt the thinking and actions urgently needed to protect this inestimable heritage of humanity.

    Curator and scenographer: Lélia Wanick-Salgado

    Original musical soundtrack for the exhibition: Jean-Michel Jarre

    Exhibition in collaboration with the Geneva Ethnography Museum

  • High Dynamic Range

    High Dynamic Range

    You can discover my article about High Dynamic Range (HDR) in the April 2021 edition of the Viewfinders newsletter.

    During the April’s meeting I’ve also presented a TTT (Ten Minutes Technical Tip) about Dynamic Range and Contrast, a companion subject. Click the button below to open the presentation.

  • Adobe Camera Raw Enhance

    Adobe Camera Raw Enhance

    Adobe vient d’ajouter une fonction « Enhance », utilisant son moteur d’intelligence artificiel Sensei, permettant de multiplier par deux la largeur et la hauteur d’une image et donc par 4 le nombre de pixels.

    Vous pouvez trouver ci-dessous un exemple qui permet en partant d’une photo de 17 Mpix d’imprimer en full size une image à 300 DPI de 90×60 cm.

    Le gain dans les détails à même facteur d’agrandissement (Original Zoomed vers Enhanced 100%) est impressionnant.

    Camera Raw provoquait le redémarrage du Mac à chaque utilisation de la fonction « Enhance » et j’ai dut désactiver l’utilisation du processeur graphique pour résoudre ce bug.

    Dernier détail le fichier RAW (DNG) de l’image agrandie pèse 357 MB.

    Original Picture : 5087 x 3391 = 17 Mpix (26 Mpix Cropped)
    Enhanced Picture : 10175 x 6783 = 69 Mpix

  • Joel Meyerowitz

    Joel Meyerowitz

    Je vous invite à découvrir dans la newsletter de mars 2019 (pages 8-9) de mon club photo Viewfinders mon article concernant « Joel Meyerowitz ».

  • De la subjectivité des images …

    De la subjectivité des images …

    Les photos c’est parfois comme les chiffres, on peut leur faire dire ce que l’on veut.

    1ère version : Scandaleux, les gens sont les uns sur les autres à la côte ce week-end.

    2ième version : Sympa ce week-end à la côte. Tout le monde a eu l’occasion de profiter du beau-temps en gardant les espaces de sécurité.

    Ces deux images ont été prises du même endroit au même moment en face de Ster der Zee à Coxyde.

    La différence ? Un téléobjectif 400mm écrasant les perspectives pour la 1ière image et un grand angle (smartphone) les dilatant pour la 2ième.

    La réalité : Il y avait effectivement du monde mais sur la plage il y avait à minima 20 mètres, si pas 50 mètres, entre les personnes et donc aucun problème.

  • PhotoBrussels Festival 05 (PBF05)

    PhotoBrussels Festival 05 (PBF05)

    Visite, en compagnie de deux autres photographes de Bruxelles Pixels, de l’exposition « The World Within » dans le cadre du PhotoBrussels Festival 05 (PBF05) à Hangar Photo Art Centre.

    Hangar launches the 5th edition of PhotoBrussels Festival, an event dedicated to photography that aims to radiate in the city.
    PhotoBrussels Festival 05 will commemorate the year 2020: 419 artists in Europe responded to the “Call for European Photographers” launched during the lockdown (March-June 2020).

    Hangar Photo Art Center

    Pour ma part je retiendrai principalement les séries An unexpected Lesson in Joy (Nick Hannes), The Missing Piece. Chronicles from Milano during the lockdown (Giovanni Hanninen), Wuhan Radiography (Simon Vansteenwinckel) et Looking Out from Within 2020 (Julia Fullerton-Batten).

    Vous avez jusqu’au 27 mars 2021 pour visiter cette intéressante exposition à Hangar Photo Art Centre à Ixelles.

    A noter que de nombreuses expositions ont lieu à Bruxelles cette même période dans le cadre du « Festival Tour – PBF05« .

    In 2020, PhotoBrussels Festival spread out in different places of the capital, Brussels, thanks to the Festival Tour. In order to make Brussels vibrate to the rhythm of photography, the Festival Tour listed all the exhibitions and initiatives related to the photographic medium during the festival period.

    Festival Tour – PBF05

    Quelques photos d’ambiance prises au smartphone …

  • Meet Me

    Meet Me

    As you maybe know I’m a member of Viewfinders photography club of Brussels.

    Each month a member of the club presents itself and his motivations for being a photographer in the club’s newsletter. In January 2021 that was my turn. So just click to discover a little bit who I am and why I taking pictures.

    Meet Philippe Clabots – Viewfinders Newsletter Jan 2021 – Page 8

    I am Philippe Clabots, from Brussels. I am married and
    have two kids and, since mid-2018, one grand-daughter.
    I’m a club member since Sept 2012 and an associate
    committee member since 2018. I think I’m one of the few
    club members who’s native from Brussels.
    I used to travel for my job, spending nearly two days a week
    in Paris for 10 years, but now I’m, as most of us, a
    teleworker.
    I’ve always been attracted by photography but my passion
    started in 2007-2008. In 2009 I’ve bought my first digital
    SLR, a Canon 50D. Since then I’ve moved to full-frame with
    a Canon 6D and then a Canon 6D Mark II. I’m buying good
    Canon EF lenses for more than 10 years now, from 14mm to
    400mm, and I’m not keen to through them away. So my
    next move will be one of the Canon full-frame mirrorless
    camera.
    Self-taught, I was formed thanks to readings, Facebook
    groups, perseverance, the will to improve myself and
    thousands of photos.
    I am nevertheless convinced that the essential element of
    this progression, or rather initiatory journey, is the
    encounters I made during these years. Meetings with photographers, who will recognise themselves, but also,
    since 2014, with the public during the exhibitions in which I
    have the unceasing pleasure of participating.
    Initially centred on opportunistic photography, depending
    on my daily life or my travels, I am moving more and more
    towards coherent sequences of images with the aim of
    telling a story, transmitting an emotion or bearing witness
    to a moment in life.
    In 2018, we are four photographers to have set up the
    « Bruxelles Pixels » collective, joined late 2019 by Hélène, a
    famous VF member. We’re currently starting the
    preparation of our 4th exhibition that will take place late
    2021.

    Newsletter Viewfinders – Jan 2021 – Page 8

  • Adobe Lightroom, NAS and SSD …

    Adobe Lightroom, NAS and SSD …

    Depuis quelques temps j’ai un NAS Synology (2x8TB répliqués) qui me sert de stockage principal et de backup pour mes photos.

    Etant quelque peu paranoïaque sur le sujet tout cela est également répliqué sur un Time Capsule, des disques externes et dans le cloud …

    Mon laptop (Mac Book Pro 512GB) ne peut pas contenir l’ensemble de mes images (environ 1,4TB) et je ne garde sur celui-ci que les images récentes (en gros 12 mois roulants).

    Le reste de mes images se trouve sur mon NAS Synology avec une connection (Ethernet 1Gbit/sec) vers mon laptop et un accès internet en cas de besoin.

    Quelques chiffres donnant les performances de lecture (NAS versus SSD) et le temps nécessaire pour lire entre 1 et 10.000 images.

    Le SSD est bien entendu plus performant (environ 6x plus rapide) mais est-ce important ?

    En fait non et pour deux raisons.

    Première raison c’est que pour lire une image il faut au NAS seulement un quart de seconde, soit un temps quasi imperceptible.

    Deuxième raison j’utilise Adobe Lightroom qui a la possibilité de générer des previews et des smart previews lorsque l’on importe les images. Cela demande quelques minutes de plus lors de l’importation mais accélère fortement la vitesse de traitement par après.

    Ces (smart) previews une fois générées servent de « proxy » c-à-d que l’image apparait et peut-être traitée en Lightroom sans devoir attendre que celle-ci soit lue du support (SSD ou NAS ou disque externe) sur laquelle elle se trouve.

    Dans le cas des Smart Previews l’image peut même être éditée (avec certaines limitations) lorsque l’image d’origine n’est pas disponible. Par exemple lorsque le disque externe contenant l’image n’est pas connecté au laptop.

    Ce mécanisme, qui occupe de l’espace sur le disque de votre laptop mais sans commune mesure avec le stockage des fichiers originaux, permet de marier deux mondes : L’accès rapide, le (smart)preview sur votre SSD., et la capacité de stockage, disque externe ou NAS.

    Pour ma part les photos dans la boucle de traitement (en gros je garde 12 mois roulants) sont sur mon laptop avec une copie de sauvegarde sur le NAS. Cette copie est effectuée automatiquement par l’application installée sur mon laptop.

    NAS (Network Attached Storage) ?

    Un NAS est un boitier contenant des disques gérés par un système d’exploitation dédié et connecté au réseau domestiquer via un cable Ethernet relié à la box fournie par votre fournisseur Internet (Belgacom, Telenet, Voo, …). En gros c’est un ordinateur dédié à la gestion du stockage.

    Vous accédez à l’espace de gestion via un navigateur web.

    Les données sont elles accessibles à tout appareil connecté à votre wifi, et même via une application dédiée ou un navigateur via Internet.

    Le NAS apparait comme un disque réseau externe dans votre navigateur de fichier.

    Ce stockage est également accessible via Internet. Vous pouvez donc accéder à vos fichiers à distance.

    Les disques sont configurés en RAID c’est à dire que le contenu de ceux-ci est répliqué automatiquement et en permanence. Un disque défectueux n’entraine pas la perte des données. Il suffit de le remplacer et le NAS va répliquer les données sur le nouveau disque. Le minimum est donc deux disques mais certains NAS en comptent huit ou dix.

    Dans le cas de deux disques l’espace utilisable est celui du disque le plus petit. Le ratio s’améliore lorsqu’on ajoute des disques.

    Le NAS lui-même peut être sauvegardé automatiquement sur un disque externe dans un format compressé. Par exemple chaque nuit une copie de sauvegarde copie les éléments nouveaux ou modifiés sur ce disque de sauvegarde. Sur base régulière vous pouvez placer cette copie dans un endroit éloigné et connecter une autre disque de sauvegarde. La rotation de ce ce disque de sauvegarde permet de récupérer vos données en cas de destruction totale du SAN et de sa copie locale (vol, incendie, …).

    Une autre façon de procéder est de connecter deux NAS en copie l’un de l’autre. Par exemple échange de bon procédé entre amis ou résidence secondaire. Pensez bien entendu à la consommation internet dans ce cas. Mieux vaut un abonnement avec volume illimité.

    Il est également possible de créer un répertoire synchronisé sur votre PC ou MAC, de créer un backup de celui-ci, de créer des espaces pour d’autres utilisateurs ayant leur propre accès, …

    De multiples applications existent permettant de stocker video, musique, photos, … et d’y accéder via divers appareils (smartphone, SMART TV, …).