Catégorie : Blog

  • Eyes Wild Open

    Eyes Wild Open

    Eyes Wild Open met en lumière les liens de filiation entre plusieurs générations de photographes pratiquant une veine intuitive, abrupte voire transgressive de la photographie. Initiée après la seconde guerre mondiale par les pionniers que sont Robert Frank, William Klein ou encore les fondateurs de la légendaire revue japonaise Provoke, cette photographie singulière a traversé le temps et son héritage demeure tout particulièrement prégnant dans la création actuelle.

    Très belle exposition avec une scénographie soignée. Plusieurs images prenantes. J’ai acheté le catalogue pour me replonger dans cette ambiance un peu inquiétante.

    Le dossier présentant l’exposition ...

    En savoir plus : Fisheye / Marie Sordat / Eyes Wild Open / La Libre

     

     

     

  • Workflow Photo

    Workflow Photo

    J’utilise Adobe Lightroom depuis de nombreuses années, en fait depuis la version 1.0 et depuis que je fais de la photo de manière soutenue.

    Flickr est depuis la même époque mon espace de publication et je crée des articles sur mon Blog WordPress afin de présenter mes images.

    Au fil du temps ma manière de travailler a bien entendu évolué, tenant compte des nouvelles fonctionnalités des logiciels, du matériel informatique de plus en plus performant et des caractéristiques des images ayant doublé de poids pendant cette période. (suite…)

  • L’épreuve du temps

    L’épreuve du temps

    Du 20 janvier au 28 février, l’Abbaye de Villers accueille en ses murs l’exposition temporaire de photographies de Nikos Aliagas, L’épreuve du temps. L’exposition met en scène 26 oeuvres en grand format (1m/1m50) en noir et blanc. Produite par GL Events/Palais Brongniart en 2017, cette exposition est présentée pour la première fois en Belgique.

    C’était une belle occasion, par une journée ensoleillée d’hiver, de visiter l’Abbaye de Villers. J’ai du la visiter lorsque j’avais une dizaine d’années à l’occasion d’un voyage scolaire.

    J’avoue, n’ayant pas trouvé le fil conducteur « L’épreuve du temps »,  ne pas être tout à fait rentré dans l’exposition. La scénographie très dispersée y est peut-être pour quelque chose.

    L’abbaye de Villers, canoniquement « abbaye de Villers-en-Brabant », était située à Villers-la-Ville, en Brabant wallon(Belgique). Fondé en 1146 dans la vallée de la Thyle par Bernard de Clairvaux, ce monastère de l’ordre de Cîteaux était l’une des premières « filles » de l’abbaye de Clairvaux. Mis à sac par la Révolution française puis confisqué par cette dernière comme bien national, ses moines en furent alors expulsés et son domaine vendu en lots. Ses ruines, appartenant à la Région wallonne, relèvent notamment du patrimoine majeur de Wallonie.
    (Source : Wikipedia).

     

     

    La série complète :

     

     

     

  • Hollywood Look

    Hollywood Look

    L’image ci-dessous a été traitée en m’inspirant de « How to Create a Hollywood Look with Lightroom CC Presets » de Serge Ramelli.

    L’idée est de créer une atmosphère proche des blockbusters produits par Hollywood en poussant les tonds chauds sur une partie de l’image (dans les hautes lumières principalement) et les tonds froids dans le reste de l’image (principalement dans les basses lumières).

    [twenty20 img1= »4671″ img2= »4670″ offset= »0.5″]

    Si l’expérience vous tente vous pouvez installer le preset Lightroom utilisé pour traiter cette image.

     

    Before

    After

  • JOEL MEYEROWITZ – WHERE I FIND MYSELF

    JOEL MEYEROWITZ – WHERE I FIND MYSELF

    Visite au Botanique de l’exposition « Where I find Myself » de Joël Meyerowitz.

    A noter la période de transition entre N/B et couleur où il doublait, à l’aide d’un deuxième boitier ses photos, N/B par une version couleur avant d’abandonner définitivement le N/B.

    Vous pouvez également trouver un compte-rendu de la visite de l’exposition par Hector Epelbaum, membre de mon club photo Viewfinders dans la newsletter de janvier 2018 du club.

    JOEL MEYEROWITZ – WHERE I FIND MYSELF
    Thursday 14.12.17 – Sunday 28.01.18
    BOTANIQUE MUSEUM
    This exhibition is created with the collaboration of the Galerie Polka.

    Joel Meyerowitz (b. 1938) was born in New York City and began taking photographs in 1962. Although he has always seen himself as a street photographer in the tradition of Henri Cartier-Bresson and Robert Frank (he is the co-author of the standard work on the genre, Bystander: A History of Street Photography, 1994) he transformed the mode with his pioneering use of color.  As an early advocate of color photography (mid-60’s), Meyerowitz was instrumental in changing the attitude toward the use of color photography from one of resistance to nearly universal acceptance.

    Meyerowitz’s  first book, Cape Light (1978), is a much beloved classic of color photography and has sold more than 150,000 copies. And in Wild Flowers (1983) he also demonstrated a comic appreciation for the blending of nature and artifice on ordinary city streets. He later turned his attention to portraits (Redheads, 1991), and landscape (Tuscany: Inside the Light, 2003). More recently, Meyerowitz has spent three years capturing wild areas in New York City’s parks. Selections from the project were exhibited at the Museum of the City of New York (2009-10), and they have been published in Legacy: The Preservation of Wilderness in New York City Parks (Aperture, 2009).

    Meyerowitz  was the only photographer to be given unimpeded access to Ground Zero in the wake of 9/11. The images he captured have formed the foundation of a major national archive, and an exhibition of selected images has travelled to more than 200 cities in 60 countries.

    Throughout his career, Meyerowitz  has since produced over a dozen books, and a full survey of his career was published by Phaidon in 2010. Additionally, in 1998 he produced and directed his first film, Pop, an intimate diary of a three-week road trip made with his son, Sasha, and his aging father, Hy.

    Among Meyerowitz’s   first important exhibitions were those at Eastman House, Rochester, in 1966, and « My European Trip » at the Museum of Modern Art, New York, in 1968. He represented the United States at the Venice Biennale for Architecture in 2002, and he has been the recipient of over a dozen awards, including the Guggenheim Fellowship and the Deutscher Fotobuchpreis. His work can be found in many major public collections, including the Museum of Modern Art, New York; the Metropolitan Museum of Art, New York; and the Whitney Museum of American Art, New York.

    Source : http://botanique.be/en/exposition/joel-meyerowitz-where-i-find-myself

    Come Dawn to Us

    La Galerie était consacrée à l’exposition « Come dawn to us » de la photographe Lara Gasparatto.
    La scénographie était atypique sur certains murs et plutôt intéressante.

    Avec « Come dawn to us », Lara Gasparotto nous invite à descendre dans l’aube, là où les premières lueurs chassent timidement les ombres, dérobent de lascifs instants et révèlent les restes crus de la nuit. Adoptant des formats réduits, l’artiste nous propose d’embrasser, sur la pointe des pieds, un monde de murmures et de confidences.

  • ISO 25600

    ISO 25600

    Les boitiers récents sont capables de belles montées en sensibilité.
    Les logiciels permettent en post-traitement de réduire le bruit présent dans l’image.

    Boitier : Canon 6D MK II
    Logiciel : Adobe Lightroom Classic CC 2017
    Format image : RAW

    Avant et Après traitement en LR (Crop 100% ci-dessus) :

    [twenty20 img1= »4566″ img2= »4567″ offset= »0.5″]

    [su_qrcode data= »https://photos.philippec.be/iso-25600/ » title= » » size= »200″ margin= »0″ align= »none » link= » » target= »blank » color= »#000000″ background= »#ffffff » class= » »]

  • Canon 6D Mark II

    Canon 6D Mark II

    Après 5 ans d’utilisation il était temps de changer mon Canon 6D dont j’ai été très satisfait.

    Trois options envisagées partant du principe que le 5D Mark IV est trop cher pour mon activité Hobby : Le 6D Mark II, le 5D Mark III ou un Sony A7.

    Le 5D Mark III a 5 ans, sa valeur de revente dans quelques années sera quasi nulle, pas de GPS, pas de WIFI, pas d’écran orientable, pas de différence notable en qualité d’image par rapport au 6D / 6D Mk II. OUT.
    Les Sony A7 sont très intéressants mais j’ai un parc d’optiques de qualité, pas envie de devoir jouer avec des bagues d’adaptation et d’éventuelles diminutions de qualité (AF plus lent). Le parc d’optique Sony est cher et limité. OUT.
    Restait donc le 6D Mark II qui n’apporte pas de gain en qualité d’image flagrant par rapport au 6D mais améliore l’AF et apporte l’écran multi-directionnel et sensitif. IN.

    Ceta article sera mis de temps en temps à jour pour vous donner un bilan au fil et à mesure de l’utilisation du boitier.

    Premières impressions

    • La qualité de fabrication est en hausse et l’ergonomie améliorée par la poignée plus creusée.
    • Le GPS peut rester en permanence ON car en Mode 2 il est effectivement arrêté lorsque l’appareil est OFF. Le GPS peut sembler anecdotique mais avec un soft comme Lightroom qui fait du reverse geo location cela veut dire que toutes les photos sont taggées avec le pays/région/rue/… dans les metadata.
    • Wifi simplifié. Connexion avec le smartphone est OK en quelques manipulations. L’app Canon Remote permet de transférer des images mais aussi et surtout de piloter l’appareil à distance avec live view.
    • L’écran est multi-directionnel et est sensitif. Quasi toutes les manipulations peuvent se faire aussi simplement que sur un smartphone. Cela semble très pratique pour l’utilisation sur pied.
    • L’AF est nettement plus élaboré que sur le 6D (ce qui n’était pas compliqué …).
    • 26 Mpix et des fichiers RAW à 30MB. Cela devient plus lourd mais reste gèrable.
    • Plus de fonctions de type intervalomètres, Bulb, …
    • Le boitier reste compact et tombe bien en main.
    • Le prix reste contenu. Je l’ai payé le même prix que le 6D il y a 5 ans.

    Après quelques utilisations (Dernière MaJ 05/01/2018)

    • L’AF en Live View (dual pixel) est impressionnant de vitesse et de précision.
    • 26 Mpix offrent plus de latitudes que 20 Mpix.
    • Le bruit est (encore) mieux contrôlé.
    • Sympa d’avoir un AF plus performant mais je vais devoir l’apprivoiser.
    • La résistance tout-temps est efficace. Plusieurs sorties sous la pluie et la neige le confirment.
    • L’écran orientable est réellement utile. Cela permet de sortir des sentiers battus en terme de cadrage. Pouvoir effectuer la MaP et la prise de vue en tapant du doigt le point focal est top.
    • Quelques modifications subtiles d’ergonomie qui rendent l’utilisation plus agréable. Le touchscreen est certainement un des éléments contribuant à ce confort d’utilisation.
    • Le niveau électronique affiché dans le viseur est très efficace et me permet de corriger dès la prise de vue la légère inclinaison que j’avais sur beaucoup de mes images.

    Questions / Remarques aux ingénieurs et au marketing de Canon …

    Sachant que je me fiche de la video.

    • Pourquoi ne pas prévoir un joystick pour la sélection des collimateurs AF plutôt que d’utiliser la molette du multi-contrôle ?
    • USB2 et pas USB3. C’est une blague ?
    • Je veux la plage dynamique des Sony et Nikon …
  • PhotoBrussels Festival 2017

    PhotoBrussels Festival 2017

    Visite de l’exposition « PhotoBrussels Festival » à la galerie Hangar.Art à Bruxelles près de la place du Chatelain ce samedi.

    Je retiendrai les photos de Liu Bolin et une découverte, les portraits de Jean-Marc Wullschleger. 

    A noter la qualité de l’endroit avec des espaces étonnement aérés pour une maison ancienne convertie en galerie sur 3 niveaux.