Couple d’amoureux sous les arcades de l’hôtel des Thermes par une froide et humide journée de janvier.
Cela fait un bon moment que je voulais revenir à l’hôtel des Thermes et ses célèbres arcades à Ostende. Bon, c’était pour découvrir qu’une multitude d’étais ont été placés pour soutenir le plafond de la galerie.
Cela m’a donné l’occasion de jouer sur l’espace négatif et de visiter l’hippodrome.
Surtout connu pour ses échafaudages présents depuis 1987, soit 33 ans, le palais de Justice de Bruxelles aura peut-être un nouveau visage d’ici 2023. En espérant que les panneaux, présentant le futur du palais, éparpillés sur le sol ne soient pas un mauvais présage …
En attendant je vous propose quelques variations photographiques prises lors d’une sortie dans les Marolles.
Each month a member of the club presents itself and his motivations for being a photographer in the club’s newsletter. In January 2021 that was my turn. So just click to discover a little bit who I am and why I taking pictures.
Meet Philippe Clabots – Viewfinders Newsletter Jan 2021 – Page 8
I am Philippe Clabots, from Brussels. I am married and have two kids and, since mid-2018, one grand-daughter. I’m a club member since Sept 2012 and an associate committee member since 2018. I think I’m one of the few club members who’s native from Brussels. I used to travel for my job, spending nearly two days a week in Paris for 10 years, but now I’m, as most of us, a teleworker. I’ve always been attracted by photography but my passion started in 2007-2008. In 2009 I’ve bought my first digital SLR, a Canon 50D. Since then I’ve moved to full-frame with a Canon 6D and then a Canon 6D Mark II. I’m buying good Canon EF lenses for more than 10 years now, from 14mm to 400mm, and I’m not keen to through them away. So my next move will be one of the Canon full-frame mirrorless camera. Self-taught, I was formed thanks to readings, Facebook groups, perseverance, the will to improve myself and thousands of photos. I am nevertheless convinced that the essential element of this progression, or rather initiatory journey, is the encounters I made during these years. Meetings with photographers, who will recognise themselves, but also, since 2014, with the public during the exhibitions in which I have the unceasing pleasure of participating. Initially centred on opportunistic photography, depending on my daily life or my travels, I am moving more and more towards coherent sequences of images with the aim of telling a story, transmitting an emotion or bearing witness to a moment in life. In 2018, we are four photographers to have set up the « Bruxelles Pixels » collective, joined late 2019 by Hélène, a famous VF member. We’re currently starting the preparation of our 4th exhibition that will take place late 2021.
Je vous concède que le sujet n’est pas glamour mais la lumière d’un soir d’hiver permet de donner une autre dimension à celui-ci.
Je suis très souvent à Coxyde et je reste fasciné par les variations infinies de lumière en fonction des saisons, de la météo et de l’heure de la journée.
Cette photo, prise à partir de la plage de Coxyde – St Idesbald avec un 400mm, inaugure mon projet photographique « Une photo chaque semaine« .
La capacité du matériel dont nous disposons aujourd’hui est tout bonnement extraordinaire. Il n’y a quasi pas de lumière, le port est à au moins quinze kilomètres mais on peut clairement distinguer un vol d’oiseaux dans le lointain.
Et à l’arrière du port entre les industries et le stockage gaz à droite on peut distinguer les 6 enceintes de la centrale nucléaire de Gravelines. Sur la droite des enceintes se trouve le feu de St Pol.
Centrale nucléaire de Gravelines dans le lointain.
Depuis quelques temps j’ai un NAS Synology (2x8TB répliqués) qui me sert de stockage principal et de backup pour mes photos.
Etant quelque peu paranoïaque sur le sujet tout cela est également répliqué sur un Time Capsule, des disques externes et dans le cloud …
Mon laptop (Mac Book Pro 512GB) ne peut pas contenir l’ensemble de mes images (environ 1,4TB) et je ne garde sur celui-ci que les images récentes (en gros 12 mois roulants).
Le reste de mes images se trouve sur mon NAS Synology avec une connection (Ethernet 1Gbit/sec) vers mon laptop et un accès internet en cas de besoin.
Quelques chiffres donnant les performances de lecture (NAS versus SSD) et le temps nécessaire pour lire entre 1 et 10.000 images.
Le SSD est bien entendu plus performant (environ 6x plus rapide) mais est-ce important ?
En fait non et pour deux raisons.
Première raison c’est que pour lire une image il faut au NAS seulement un quart de seconde, soit un temps quasi imperceptible.
Deuxième raison j’utilise Adobe Lightroom qui a la possibilité de générer des previews et des smart previews lorsque l’on importe les images. Cela demande quelques minutes de plus lors de l’importation mais accélère fortement la vitesse de traitement par après.
Ces (smart) previews une fois générées servent de « proxy » c-à-d que l’image apparait et peut-être traitée en Lightroom sans devoir attendre que celle-ci soit lue du support (SSD ou NAS ou disque externe) sur laquelle elle se trouve.
Dans le cas des Smart Previews l’image peut même être éditée (avec certaines limitations) lorsque l’image d’origine n’est pas disponible. Par exemple lorsque le disque externe contenant l’image n’est pas connecté au laptop.
Ce mécanisme, qui occupe de l’espace sur le disque de votre laptop mais sans commune mesure avec le stockage des fichiers originaux, permet de marier deux mondes : L’accès rapide, le (smart)preview sur votre SSD., et la capacité de stockage, disque externe ou NAS.
Pour ma part les photos dans la boucle de traitement (en gros je garde 12 mois roulants) sont sur mon laptop avec une copie de sauvegarde sur le NAS. Cette copie est effectuée automatiquement par l’application installée sur mon laptop.
NAS (Network Attached Storage) ?
Un NAS est un boitier contenant des disques gérés par un système d’exploitation dédié et connecté au réseau domestiquer via un cable Ethernet relié à la box fournie par votre fournisseur Internet (Belgacom, Telenet, Voo, …). En gros c’est un ordinateur dédié à la gestion du stockage.
Vous accédez à l’espace de gestion via un navigateur web.
Les données sont elles accessibles à tout appareil connecté à votre wifi, et même via une application dédiée ou un navigateur via Internet.
Le NAS apparait comme un disque réseau externe dans votre navigateur de fichier.
Ce stockage est également accessible via Internet. Vous pouvez donc accéder à vos fichiers à distance.
Les disques sont configurés en RAID c’est à dire que le contenu de ceux-ci est répliqué automatiquement et en permanence. Un disque défectueux n’entraine pas la perte des données. Il suffit de le remplacer et le NAS va répliquer les données sur le nouveau disque. Le minimum est donc deux disques mais certains NAS en comptent huit ou dix.
Dans le cas de deux disques l’espace utilisable est celui du disque le plus petit. Le ratio s’améliore lorsqu’on ajoute des disques.
Le NAS lui-même peut être sauvegardé automatiquement sur un disque externe dans un format compressé. Par exemple chaque nuit une copie de sauvegarde copie les éléments nouveaux ou modifiés sur ce disque de sauvegarde. Sur base régulière vous pouvez placer cette copie dans un endroit éloigné et connecter une autre disque de sauvegarde. La rotation de ce ce disque de sauvegarde permet de récupérer vos données en cas de destruction totale du SAN et de sa copie locale (vol, incendie, …).
Une autre façon de procéder est de connecter deux NAS en copie l’un de l’autre. Par exemple échange de bon procédé entre amis ou résidence secondaire. Pensez bien entendu à la consommation internet dans ce cas. Mieux vaut un abonnement avec volume illimité.
Il est également possible de créer un répertoire synchronisé sur votre PC ou MAC, de créer un backup de celui-ci, de créer des espaces pour d’autres utilisateurs ayant leur propre accès, …
De multiples applications existent permettant de stocker video, musique, photos, … et d’y accéder via divers appareils (smartphone, SMART TV, …).
Un arboretum extraordinaire dans une forêt extraordinaire. Situé à Tervuren, l’ Arboretum Géographique se présente comme la couronne de la majestueuse forêt de Soignes. La collection se trouve dans un magnifique parc paysager, entouré par des allées imposantes et croisé par un labyrinthe de vallées herbeuses. Plus qu’une collection d’arbres, il s’agit d’une collection de forêts, ou plus précis, de types de forêts. D’innombrables arbres et arbustes du Nord, de l’Ouest et de l’Est de l’Amérique du Nord, de l’Europe centrale et méditerranéenne, du Moyen et de l’Extrême-Orient en Asie sont regroupés ici par région d’origine dans un centaine de sections. La superficie totale est de 120 ha.
L’arboretum a été fondé en 1902 sur une propriété du roi Léopold II. C’est aujourd’hui le domaine public le plus attrayant du patrimoine, que le roi a transféré un peu plus tard à la nation belge. Le concept original du professeur Charles Bommer a été respecté à travers les extensions et les réjuvénations pendant plus qu’un siècle.
J’ai présenté lors de la réunion mensuelle de mon club photo la manière dont je gère mon flux photographique (workflow). Vous pouvez trouver la présentation utilisée ci-dessous en PDF ou la parcourir en ligne (MS Powerpoint Slideshow).
J’avais déjà abordé le sujet sur ce site en 2010 et 2018.
La méthode Brenizer permet de dépasser les limites de votre objectif et de votre capteur pour créer une image ayant une profondeur de champ extrêmement courte rappelant les images effectuées avec un appareil moyen/grand format.
J’ai déjà publié deux articles consacrés à la méthode Brenizer en 2016.
En décembre 2018 j’ai eu le plaisir de présenter cette méthode lors d’une réunion de mon club photo Viewfinders.
Il vous suffit de cliquer l’image ci-dessous pour parcourir la présentation faite ce jour là. En espérant que la méthode vous inspire et que vous fassiez quelques essais de celle-ci. N’hésitez à publier ceux-ci en réaction à cet article sur ma page Facebook.
This is a very interesting method to overcome the physical limitations of your lens and create images (especially portraits), with an incredible shallow depth of field. This technique, made popular by Ryan Brenizer, is based on a panoramic image stitching (in Photoshop and other image processing software) where several images of the subject and around the subject are digitally merged together to create a large file with a wideangle of view.